Dans la prostitution, « à la misogynie s’ajoute une dimension raciste ».
« Sur une vitrine où il y a écrit « soins corporels », tu pourras voir écrit en lettres au néon « massages », donc tout le monde sait ce qui se passe dans ce salon de massage. Parfois il y a écrit « clinique de massothérapie », mais dans une clinique de massothérapie normalement il y a des vrais massothérapeutes avec des certifications, et y sont indiqués les différents massages offerts, souvent il y a des cours de yoga aussi… Au contraire des salons « érotiques ». Des journalistes sont allés dans des salons de massage, anonymement, pour demander les services qui étaient proposés. Et c’était clair. Le personnel, les masseuses disaient clairement ce qu’il y avait comme service sexuel. »